Tu en as marre de te demander pourquoi tu choisis toujours le mauvais mec ? Tu vas enfin comprendre pourquoi tu attires toujours le même type d’homme. Celui qui te rend dingue, qui t’ignore, qui te vide au lieu de te porter. Et tu vas surtout voir comment sortir de ce cycle.
Près d’1 femme sur 2 a déjà vécu une forme d’abus émotionnel dans une relation.
Oui, ce chiffre est énorme. Mais il est réel. Il vient de l’enquête NISVS (National Intimate Partner and Sexual Violence Survey).
Alors si tu te demandes encore : « Pourquoi j’attire toujours les mauvais hommes ? Pourquoi je rencontre encore le même style de mec ? Pourquoi je tombe sur des hommes toxiques qui me tirent vers le bas ? ». Tu es exactement au bon endroit.
Au bas de cet page tu trouveras aussi un quiz qui t’aidera à comprendre les schémas que tu répètes.

La rédac’ de Pik! t’explique pourquoi on choisit toujours le même type de partenaire, pourquoi tu attires les hommes à problèmes, et comment arrêter d’être celle qui « répare » ou qui espère qu’il changera.
Pourquoi on choisit toujours le même type de partenaire ?
Si tu tombes toujours sur le mauvais mec, c’est parce que ton cerveau adore ce qu’il connaît. Même quand ça fait mal. Parce qu’une partie de toi retourne vers ce qui lui semble familier, pas vers ce qui lui fait du bien.
« Pourquoi je choisis toujours le même type de partenaire ? » Ton cerveau cherche avant tout la sécurité. Pas l’amour. Et pour y parvenir, il se repère grâce à tes anciennes expériences, même les plus bancales.
Ton père qui était tout le temps absent devient la référence. Ta mère qui t’a montré comment rester soumise à un homme psychologiquement instable devient ta référence également.

Alors, quand tu rencontres un homme qui ressemble à ton père, ton cerveau te dit : « Je connais ce type d’homme. Je sais comment survivre avec lui. »
Et quand tu parviens enfin à quitter cet homme… Ton cerveau te renvoie vers le même profil. Encore. Et encore.
« J’ai compris que je retombais amoureuse de mon passé, pas des hommes en face de moi. »
confie Marion, 33 ans. « Chaque relation finissait pareil : un homme distant, émotionnellement fermé, et moi qui m’accrochais en espérant qu’il change. En thérapie, j’ai réalisé que je rejouais inconsciemment le schéma de mon père, toujours ailleurs, toujours dans sa bulle. Je croyais choisir des partenaires différents… mais mon cerveau reconnaissait ce manque et l’appelait « amour ». Quand j’ai vu ça, j’ai enfin pu casser le cycle. »
Ton système d’attachement renforce ce réflexe
Si tu as grandi avec un parent absent, froid ou instable, ton corps reconnaît ce climat. Il le trouve même « normal ». Donc tu vas vers un homme indisponible, qui t’ignore. Pas parce qu’il te convient ! Mais parce que ton passé te dit que tu peux t’adapter.
Les psys le répètent depuis longtemps : on rejoue ce qu’on a vécu enfant. Tu as appris un rôle. Et quand tu deviens adulte, tu continues à le jouer. Sans t’en rendre compte, évidemment.
C’est ton style d’attachement qui te pousse à réendosser un rôle que tu connais déjà bien. Il existe 4 styles différents d’attachement :
- Anxieux
- Évitant
- Désorganisé
- Sécure

Tu ne sais pas lequel de ces styles d’attachement te dirige ? Arrête-toi deux minutes et va vite faire ce quiz : Quel style d’attachement guide ta vie amoureuse ? Sécure, anxieux, évitant ou désorganisé ? Fais le test !
Fais ce test express : prends une relation qui t’a fait souffrir et demande-toi : « À qui me fait-elle penser dans mon enfance ? »
Si tu retrouves le même climat émotionnel (devoir mériter l’amour, marcher sur des œufs, attendre qu’on te voie) tu n’es pas amoureux·se : tu rejoues un rôle. 🔍✨
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📸 Je rejoins Pik! sur InstaQu’as-tu appris étant enfant ?
Dans ton enfance, tu as peut-être appris à :
- Sauver
- Attendre
- Mériter
- Ne pas déranger
- Etc.
Ces rôles deviennent automatiques.
Tu ne les choisis pas librement. Tu choisis sous influence. Influence de ton histoire, de ce que tu as dû encaisser, de ce que ton corps reconnaît comme supportable.
« Toute petite, j’ai appris à ne pas déranger. Et adulte, je disparaissais encore dans mes relations. »
raconte Amandine, 34 ans. « Chez moi, il fallait être sage, calme, invisible. Alors j’ai grandi en pensant que mes besoins prenaient trop de place. En amour, je sauvais, j’attendais, j’encaissais. Je croyais choisir librement, mais en réalité, je rejouais ce que mon corps connaissait déjà. Le jour où j’ai compris ça, j’ai arrêté de me confondre avec la petite fille qui ne voulait gêner personne. »
Voilà pourquoi tu attires souvent les hommes toxiques, les hommes à problèmes, les mauvais mecs, ou ceux qui ont « besoin d’aide ».
Tu es programmée pour reconstruire ton passé jusqu’à ce que tu repères enfin le schéma… et que tu le transcendes.
Chaque rencontre répète un morceau de ton histoire. Et ton corps te pousse à rejouer ce que tu n’as pas encore guéri. Voilà pourquoi tu ne cesses de te demander : « Mais enfin, pourquoi je tombe toujours sur le mauvais mec ? »
Pose-toi cette question : « Dans ma dernière relation, quel rôle j’ai joué sans m’en rendre compte : sauver, attendre, mériter, ne pas déranger, fuir, douter ? »
Si tu coches la même case à chaque relation, ce n’est pas du hasard : c’est ton histoire qui parle à ta place. Repérer le rôle, c’est déjà commencer à en sortir. 🎭✨
Le vrai mécanisme derrière « pourquoi j’attire les mauvais hommes »
Ton cerveau cherche le prévisible. Même quand ça fait mal. C’est ça, le mécanisme caché derrière ton fameux : « Pourquoi j’attire les mauvais hommes ? »
Tu n’es pas attirée par un type d’homme. Tu es attirée par un type de sensation.
La répétition traumatique selon Freud
Ton système nerveux garde en mémoire les ambiances qui ont façonné ton enfance : tension, distance, chaos, rôle de sauveuse, admiration impossible… Ces climats émotionnels deviennent des empreintes internes. C’est ce qu’on appelle « la répétition traumatique. »
Freud a expliqué cette répétition par le fait que les anciens enfants traumatisés associaient l’attachement qu’ils ont éprouvé pour leurs parents, à tous les autres aspects de leurs traitements par ailleurs. Ils ont donc intégré de façon inconsciente qu’aimer et taper, par exemple, ou aimer et abuser, allaient toujours ensemble.
« J’ai compris que je retombais amoureuse de mon passé, pas des hommes en face de moi. »
confie Marion, 33 ans. « Chaque relation finissait pareil : un homme distant, émotionnellement fermé, et moi qui m’accrochais en espérant qu’il change. En thérapie, j’ai réalisé que je rejouais inconsciemment le schéma de mon père, toujours ailleurs, toujours dans sa bulle. Je croyais choisir des partenaires différents… mais mon cerveau reconnaissait ce manque et l’appelait “amour”. Quand j’ai vu ça, j’ai enfin pu casser le cycle. »
Si ton cerveau rejoue ce qu’il connaît, c’est parce qu’il sait comment y survivre.
Alors il fait ceci :
- Il identifie une ambiance familière.
- Il l’étiquette comme étant « normale ».
- Il t’envoie vers elle, même si elle te détruit.

Pas parce que tu manques de valeur. Parce que ton cerveau déteste l’inconnu plus qu’il déteste la souffrance.
C’est la loi de la cohérence interne : ton esprit préfère ce qui correspond à ton histoire plutôt que ce qui correspond à tes besoins actuels. Donc tu vas vers le même climat relationnel, pas vers un homme en particulier.
Ce n’est pas un choix conscient. C’est un réflexe neuro-affectif.

Et tant que ton corps pense que « amour = tension », il continuera à filtrer les hommes disponibles comme « ennuyeux » et à percevoir les hommes instables comme « intéressants ».
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👍 Je rejoins Pik! sur Facebook8 raisons inconscientes qui expliquent pourquoi tu choisis toujours le mauvais mec
Tu te demandes : « Pourquoi je rencontre toujours le même type d’homme ? » Il existe des raisons inconscientes derrière ce choix. Liées, comme nous l’avons étudié plus haut, à tes blessures d’enfance.
Voici 8 raisons inconscientes qui expliquent pourquoi nous sommes attirées par les mauvais garçons.
💛 1. Tu choisis souvent des partenaires très indépendants
Tu te demandes pourquoi tu rencontres toujours le même type d’homme ? Voilà une première piste : tu vas instinctivement vers des hommes ultra indépendants.
Ton attraction pointe peut-être :
- une peur d’être envahi
- un besoin de validation
- une crainte de dépendre émotionnellement
- le besoin d’aimer « en sécurité », à distance, sans risque de fusion
🧭 Quand tu rencontres quelqu’un, pose-toi cette question simple : « Est-ce que je me sens en paix ou en tension ? » Si c’est de la tension déguisée en « papillons dans le ventre », c’est peut-être ton vieux schéma qui s’emballe. Choisis la paix. 💬✨
🤝 2. Tu choisis souvent des partenaires très dépendants
Ton attraction peut révéler :
- un rôle de sauveur·se devenu automatique
- une peur d’être abandonné·e si l’autre n’a plus besoin de toi
- une identité construite autour du « je dois réparer ».
Avant de t’attacher, pose-toi cette question : « S’il n’y avait rien à réparer chez cette personne, est-ce qu’elle m’intéresserait toujours ? » Si tu hésites, c’est ton vieux rôle de sauveur·se qui parle, pas ton cœur. 🔍✨
🚨 3. Tu choisis souvent des partenaires instables émotionnellement
Cela peut signaler :
- un besoin d’intensité pour sentir le lien
- l’impression inconsciente de mériter des relations compliquées
- la confusion entre amour et chaos, héritée d’enfance
Quand quelqu’un te fait vibrer trop vite, note ton premier réflexe : « Je me sens vivante » ou « Je me sens secouée » ? Choisis les relations qui t’ancrent. Pas celles qui te retournent comme un shaker. 🧘♀️✨
🧊 4. Tu choisis souvent des personnes froides ou distantes
Ce choix répété peut révéler :
- une familiarité avec l’indisponibilité émotionnelle
- un schéma où tu cherches à « gagner » l’amour
- une difficulté à recevoir un attachement sain
Avant de retomber amoureux de quelqu’un de glacial, pose-toi une question simple : « Est-ce que cette personne me choisit pour qui je suis ou est-ce que je m’acharne simplement à dégeler son coeur ? » Si tu dois jouer au radiateur humain, c’est qu’il fait trop froid pour ton cœur. ❄️❤️🔥
🌪️ 5. Tu choisis souvent des partenaires imprévisibles
Tu pourrais chercher :
- l’adrénaline pour combler un vide affectif
- un système relationnel où tu restes en hypervigilance, car c’est ce que tu as connu enfant
- un amour qui te « prouve » sa valeur par des montagnes russes
Quand une personne imprévisible t’attire, pose-toi cette question simple : « Est-ce que cette relation m’apaise, ou est-ce qu’elle m’active ? » Si ton ventre se serre plus souvent qu’il ne se détend, ce n’est pas de l’amour : c’est ton système nerveux qui survit. Et ça, c’est ton meilleur signal pour prendre de la distance. 🌪️🧘♀️
💬 6. Tu choisis souvent des personnes qui parlent peu de leurs émotions
Tu te demandes souvent : « Mais pourquoi j’attire les hommes à problèmes ? »
Ton attraction pour les mauvais hommes peut pointer :
- une peur d’être vulnérable toi-même
- un modèle parental silencieux
- une stratégie d’attachement évitante que tu n’as pas identifiée
Face à quelqu’un qui ne parle jamais de ses émotions, teste ce simple indicateur : « Qu’est-ce que ça t’a fait, toi ? » S’il/elle esquive systématiquement, note comment toi tu te sens : en connexion ou en solitude à deux ? Ce ressenti est ton meilleur baromètre pour repérer un schéma évitant et arrêter de courir après un mur. 🧊❤️🩹
🌞 7. Tu choisis souvent des partenaires très enthousiastes, solaires, débordants
Cela peut dire :
- que tu cherches quelqu’un pour porter l’énergie à ta place
- que tu as besoin de te sentir « rassuré » par l’optimisme de l’autre
- que tu caches un manque de confiance
La prochaine fois que tu rencontres quelqu’un ultra-solaire, fais ce mini-check : est-ce que son énergie t’inspire ou est-ce qu’elle te « porte » à ta place ? Si tu te sens boosté·e, top. Si tu te sens aspiré·e, note-le : c’est le signal que tu t’accroches à sa lumière pour éviter de regarder la tienne. 🌞🪞
🎭 8. Tu choisis souvent des personnes inaccessibles (déjà prises, distantes, émotionnellement indisponibles)
Ce schéma peut révéler :
- une peur de t’engager pleinement
- un évitement du risque réel (si c’est impossible, tu ne peux pas être blessé)
- une blessure d’abandon non résolue
Avant de t’attacher à quelqu’un d’inaccessible, pose-toi cette question : « Si cette personne se rendait enfin disponible, est-ce que je m’engagerais avec elle ? » Si la réponse te met mal à l’aise, c’est le signe que tu poursuis l’impossible pour éviter le vrai risque : celui d’un lien réel. 🎯
« Pourquoi je choisis toujours le mauvais mec ? » : voici comment arrêter d’attirer les hommes à problèmes
Pour arrêter d’attirer les hommes à problèmes, tu dois :
- repérer ton mécanisme interne
- cesser de jouer ton rôle d’enfance
- reconstruire un filtre qui reconnaît la sécurité
Tu peux changer cette dynamique dès maintenant. Voici comment faire.
1. Change ton mécanisme interne
Tu attires des hommes à problèmes parce que tes signaux internes n’ont pas encore changé. Ton cerveau trie les hommes selon ton histoire, pas selon tes besoins d’adulte.
Ton passé t’a peut-être appris à :
- consoler
- réparer
- comprendre avant d’être comprise
- donner plus que tu ne reçois
Ces gestes attirent des hommes qui cherchent une béquille émotionnelle, pas une relation.
Note les trois comportements que tu adoptes au début d’une relation (rassurer, expliquer, excuser,…). Ce sont tes appâts. Tu dois les repérer pour les retirer.
2. Arrête de rejouer ton rôle d’enfance
Les hommes instables repèrent vite celles qui acceptent :
- l’effort à sens unique
- l’ambiguïté
- le silence comme réponse
- les miettes comme preuve d’amour
Une frontière poreuse reste une invitation ouverte pour ceux qui fuient toute responsabilité.
Pose-toi cette question : “Est-ce que j’accepterais ce comportement chez un ami ?”
Si la réponse est non, tu n’es pas dans une relation saine. Tu es encore en train de choisir le mauvais mec.
3. Corrige ton radar interne
Tu te demandes toujours : « Pourquoi je choisis toujours le mauvais mec » ?Ton système nerveux confond peut-être tension et amour. Il perçoit l’instabilité comme une preuve d’intensité. Il classe l’homme stable comme “fade” et l’homme imprévisible comme “magnétique”.
Ce filtre influence tes choix plus que ta volonté.
Demande-toi : “Si cet homme devenait stable et clair, m’attirerait-il encore ?”
Une réponse négative montre un réflexe hérité, pas un choix libre.
4. Comprends ton style d’attachement
Ton style d’attachement agit comme une boussole interne. Il t’oriente vers les mêmes relations : anxieuses, évitantes ou chaotiques. Il détermine ce que tu appelles « amour ».
Identifie ton style d’attachement en observant ta réaction quand l’autre se rapproche ou s’éloigne.
Note la première impulsion — panique, fuite, fusion. C’est ton GPS affectif. Le repérer, c’est commencer à recalibrer la boussole.

Mini-test en 14 questions : Pourquoi je choisis toujours le mauvais mec ?
Est-ce que tu répètes un schéma dans tes relations amoureuses ? Fais le test !
En bref : Pourquoi on choisit toujours le même type de partenaire ?
Tu sais maintenant pourquoi tu choisis toujours le mauvais mec. Tu avances vers un climat qui t’est familier, pas vers un homme en particulier. Tu répètes un schéma inscrit dans ton système nerveux, nourri par ton attachement et ton histoire.
Tu comprends que tu attires certains profils parce que tes signaux, tes frontières et ton filtre interne orientent tes choix. Tu repères désormais si tu cherches la tension, la distance, l’intensité, un rôle… ou l’équilibre.
Tu peux transformer cette dynamique en modifiant ce que ton corps reconnaît comme « normal ». Tu peux choisir des relations stables. Tu peux sortir du cycle.
La prochaine étape se joue en toi. Passe à l’action !
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FAQ : Pourquoi je rencontre toujours le même type d’homme ?
Parce que ton système nerveux confond excitation et sécurité. La tension crée un faux sentiment de “vivre une relation forte”. Ce mécanisme vient souvent d’un manque d’estime de soi ou d’une dépendance affective qui te pousse vers des partenaires instables. Un thérapeute peut t’aider à repérer ces associations.
Ta confiance revient quand tu comprends ton rôle dans ma relation sans te dévaloriser. Tu reconstruis ton estime de soi quand tu arrêtes de croire que tu dois “mériter” l’amour. Tu peux avancer avec des gestes simples : dire non, recevoir des compliments sans te juger, et sortir de ta zone de confort sociale.
Parce que tu restes dans des liens où l’intimité émotionnelle te met en alerte. Tu peux confondre proximité et perte d’indépendance. Une relation durable demande des frontières stables, un désir sexuel équilibré, et une sécurité intérieure. Sans ça, tu brises la relation avant même de l’habiter.
Tu dois d’abord comprendre ton attachement. La peur de perdre t’oblige à t’accrocher. Tu crois que le couple qui marche dépend de tes efforts. Un lien de couple harmonieux naît quand tu arrêtes de jouer un rôle et que tu laisses l’autre montrer comment il veut vivre la relation.
Ton cerveau associe peut-être désir sexuel et danger. Les hormones confondent adrénaline et séduction. La stabilité te paraît plate car tu associes l’amour au chaos. Ce n’est pas un manque d’amour. C’est un réflexe.
Tu récupères ta valeur quand tu arrêtes d’interpréter l’infidélité comme une preuve de ton manque de qualités. L’infidélité révèle souvent le mal-être de l’autre, pas le tien. Regagner confiance demande d’identifier tes attentes, ta capacité à dire non, et ton droit à une relation amoureuse épanouie.
Une relation se nourrit avec de la clarté. Tu poses des limites, tu dis ce que tu ressens, tu exprimes tes désirs sexuels et affectifs sans peur du rejet. L’harmonie du couple vient quand chacun travaille sur soi, pas quand l’un sauve l’autre.
Alors tu cherches une émotion, pas une personne. Tu veux vivre une histoire, pas forcément un partenaire. Cette dynamique crée souvent des coups de foudre rapides puis des ruptures violentes. Tu dois apprendre à reconnaître un lien qui repose sur l’intimité réelle, pas sur la projection.
Tu reprends le pouvoir quand tu comprends que tu ne dois plus t’effacer pour garder un conjoint. Tu ne dois plus confondre être aimée et être utile. Tu avances quand tu répares ton estime, que tu réduis ton manque de relation, et que tu choisis un partenaire qui te laisse respirer.
Tu reconstruis ta vie sexuelle en travaillant sur la confiance en toi. Le désir sexuel revient quand ton corps se sent en sécurité. Tu peux repartir de gestes simples : ralentir, communiquer, explorer tes sensations. L’excitation naît de la présence, pas de la performance.
Tu dois reconnaître la jalousie comme un signal de manque d’estime ou d’insécurité. Elle parle de toi, pas du comportement de l’autre. Tu reprends la maîtrise quand tu identifie ta peur centrale : perdre, ne pas suffire, être remplacée. Une relation sereine se construit sur la confiance, pas sur le contrôle.
Tu répares ton cœur quand tu arrêtes d’interpréter la rupture comme un échec personnel. Tu réapprends à croire en toi en regardant ce que tu as déjà traversé. Tu reprends confiance quand tu te reconnectes à tes désirs, à ton corps, et à ta capacité à vivre une relation stable.
