Tu veux réussir ? Parfait. Voici exactement ce qu’il ne faut pas faire si tu veux y arriver. Les méchants de Disney ont tout compris… mais à l’envers. Découvre leurs pires erreurs. Celles qui te mènent tout droit vers l’auto-sabotage.
Repousser ce qui est vraiment important. Procrastiner sur ce qui compte. Abandonner dès que ça devient difficile… Ça te parle, non ? Hé bien tu sais quoi ? C’est le moment de tout changer.
Dans cet article, la rédac de Pik! t’apprend à repérer tes schémas d’auto-sabotage. Et surtout, à découvrir comment les éliminer une bonne fois pour toutes. 🚀
L’auto-sabotage, c’est quoi ?
Quand tu rates quelque chose, tu es toujours en train de te dire que tes échecs proviennent de facteurs extérieurs.
Pourtant, ton pire ennemi, c’est bien souvent TOI-MÊME.
Tu t’auto-sabotes.
« À chaque fois que ça commençait à bien se passer, je trouvais un moyen de tout faire capoter »
reconnaît Sarah, 33 ans. « J’avais peur de réussir, peur de ne plus être à la hauteur. Alors je procrastinais, je doutais, je fuyais les opportunités. Le jour où j’ai compris que ce n’étaient pas les autres qui me bloquaient, mais moi, tout a changé. »
Mais qu’est-ce que l’auto-sabotage ? Le dictionnaire nous donne cette définition de l’auto-sabotage : S’auto-saboter, c’est agir délibérément contre ses propres intérêts ou objectifs.
- Ne pas terminer les choses
- Procrastiner
- Être trop perfectionniste
- Trouver des excuses
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L’auto-sabotage, provient de tes croyances limitantes. Cette petite voix intérieure qui te répète que tu n’es pas assez, que tu es nul·le, que tu vas rater. Tes croyances limitantes t’incitent à ne rien entreprendre et à t’auto-saboter plutôt que d’appuyer sur l’accélérateur et aller vers ce qui te ferait vraiment du bien.
🧠 Quand ta petite voix intérieure te dit « je ne peux pas », ajoute juste « pour l’instant ». Ce simple mot transforme ton blocage en possibilité. Et ton cerveau commence déjà à chercher comment y arriver. 🚀
En réalité, tes croyances limitantes viennent de loin. Souvent de l’enfance, là où certaines blessures t’ont appris à douter plutôt qu’à oser. Les repérer, c’est déjà commencer à les désarmer.
Plus tu mets de la conscience dessus, plus tu reprends la main. Tu n’as pas à tout réussir. Essayer, c’est déjà un super premier pas !
Les raisons de l’auto-sabotage
Mais dans le fond, pourquoi on s’auto-sabote ? Les raisons peuvent être multiples. Il y a les croyances limitantes, on vient de le voir. Mais ce n’est pas tout. Voici quelques raisons supplémentaires :
- La peur de l’échec
- La peur de réussir
- Le manque d’estime de soi
- Le besoin de contrôle
- Les blessures du passé
Le problème, c’est que le mécanisme de l’auto-sabotage est insidieux. Tu ne réalises pas que tu t’auto-sabotes… jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Et les méchants de Disney dans tout ça ?
Les méchants de Disney sont des maîtres absolus de l’auto-sabotage. Ils ont le pouvoir, l’intelligence, les ressources, et pourtant… ils foirent à chaque fois. Pourquoi ? Parce qu’ils appliquent à la lettre les 7 règles ultimes de l’auto-sabotage.
Décryptage et astuces pour ne pas tomber dans le piège.
1. Garde une mentalité de loser (Scar – Le Roi Lion)
Scar a tout pour réussir. Il a du potentiel, du charisme, une vraie intelligence stratégique. Mais son ego, sa jalousie et son besoin de reconnaissance le détruisent de l’intérieur.
Plutôt que d’agir avec confiance, il rumine, se compare, cherche à prouver qu’il vaut mieux que Mufasa. Résultat : il passe son temps à manipuler, à trahir, à s’enfoncer dans la rancune.
C’est exactement ce que fait notre mental quand il se laisse guider par la peur plutôt que par la confiance.
🔎 Le piège
Vouloir prouver sa valeur au lieu de la reconnaître soi-même. Tu t’épuises à chercher la validation des autres alors qu’elle ne comblera jamais le doute intérieur. Tant que tu cours après l’approbation, tu restes loin de ton propre pouvoir.
Change de focus. Tu n’es pas condamné à échouer. Ne compare pas ton chapitre 1 au chapitre 20 de quelqu’un d’autre. Chaque jour, avance un peu, même à petits pas.
2. Attends que tout soit parfait (Ursula – La Petite Sirène)
Ursula veut le trône de Triton. Ok. Sauf qu’elle ne passe pas à l’action tant que les conditions ne sont pas « parfaites« .
Elle passe des années dans l’ombre, à ruminer son ressentiment et à attendre le moment parfait pour frapper.
Son problème ? Elle s’y met trop tard. Elle rumine, planifie, perfectionne… et finit par agir trop tard.
Quand elle se lance enfin, elle s’emballe, improvise, et tout lui échappe.
🔎 Le piège
Attendre d’être prêt·e pour agir. Tu ne le seras jamais à 100 %. Alors crée le bon moment au lieu de l’attendre.
Passe à l’action, ajuste en route. Lance ton projet, envoie ce mail, ose ce rendez-vous. C’est l’action qui crée la confiance, pas l’inverse.
3. Ne demande jamais d’aide (Jafar – Aladdin)
Dans Aladdin, Jafar est le roi du contrôle. Il veut le pouvoir absolu, mais refuse toute aide.
Il a littéralement un génie capable d’exaucer ses vœux… et il finit par l’utiliser pour devenir esclave de sa propre ambition.
Trop sûr de lui et terriblement égocentrique, il rejette les conseils, refuse de déléguer, et s’enferme dans sa tour d’ivoire.
À force de vouloir tout maîtriser, il devient prisonnier de son propre plan.
🔎 Le piège
Croire que demander de l’aide, c’est être faible. Accepter d’être guidé, ce n’est pas perdre du pouvoir. C’est l’élargir.
Apprends à déléguer et à demander du feedback. Seul, tu avances plus vite. Avec les autres, tu vas plus loin.
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👍 Je rejoins Pik! sur Facebook4. Fuis l’inconfort et reste dans ta zone de confort (Hadès – Hercule)
Hadès veut régner sur l’Olympe. Mais dès qu’un obstacle se présente, il perd le contrôle.
Il veut tout, tout de suite. Il a zéro patience et zéro recul. En plus, il refuse de composer avec la complexité et de se confronter à ses limites.
Au premier échec, il s’emporte, accuse les autres, et refuse de se remettre en question.
Résultat : il s’auto-détruit plus vite que ses plans.
🔎 Le piège
Confondre vitesse et puissance.
L’impatience donne l’illusion d’avancer. Elle t’empêche de construire.
Affronte l’inconfort. La progression passe par la résistance. Échouer, c’est apprendre. Ce que tu évites aujourd’hui sera ton plus grand regret demain.
5. Dis oui à tout et laisse les autres décider pour toi (La Reine de Cœur – Alice au Pays des Merveilles)
La Reine de Cœur hurle plus qu’elle ne gouverne.
Elle change d’avis à chaque contrariété, réagit à tout et à tout le monde. Sous ses airs d’autorité, elle n’a aucun cadre.
Elle réagit en fonction des autres, se laisse submerger par ses émotions et finit par saboter son propre règne.
À force de vouloir tout contrôler sans se contrôler elle-même, elle perd sa crédibilité et devient prisonnière de ses propres impulsions.
🔎 Le piège
Vouloir plaire à tout le monde.
Ne jamais poser de limites. Ne pas assumer tes choix.
Quand tu dis “oui” à tout, tu dis “non” à toi.
Fixe tes règles. Apprends à dire non. Prends tes décisions pour toi, pas pour faire plaisir aux autres.
6. Passe ton temps à ressasser le passé (Capitaine Crochet – Peter Pan)
Le Capitaine Crochet est obsédé par son passé.
Il passe son temps à ruminer son humiliation, au lieu d’avancer. Du coup, il stagne, rumine et tourne en rond.
Chaque décision qu’il prend est dictée par sa rancune envers Peter Pan, et non par un vrai objectif.
Pendant qu’il ressasse son échec, Peter Pan, lui, continue de vivre et d’évoluer, prouvant que rester bloqué dans le passé, c’est déjà avoir perdu.
🔎 Le piège
Penser que ton passé définit ton futur.
Penser au passé peut t’éclairer. T’y enfermer t’empêche d’évoluer.
Regarde où tu veux aller, pas où tu as échoué. Ce qui est fait est fait. Ce qui compte, c’est maintenant.
7. Laisse la peur diriger tes choix (Maléfique – La Belle au Bois Dormant)
Maléfique est puissante, mais elle est guidée par la peur.
Elle a peur d’être mise de côté, peur de perdre son influence. Du coup, elle contrôle tout et détruit tout, au lieu de construire quelque chose de durable.
Elle préfère maudire une enfant plutôt que d’affronter son propre sentiment d’exclusion.
Plutôt que de canaliser sa puissance pour créer, elle l’utilise pour se venger, prouvant que la peur mal gérée transforme même les plus forts en leurs propres bourreaux.
🔎 Le piège
Confondre puissance et domination.
La vraie force ne cherche pas à tout contrôler. Elle apprend à ne plus avoir peur.
La peur est un bon indicateur… mais un mauvais guide. Si quelque chose te fait peur, c’est peut-être précisément ce que tu dois faire.
L’auto-sabotage, ça s’arrête maintenant
Ces méchants avaient tout pour réussir. Mais ils ont saboté leur propre succès. Tu veux vraiment suivre leur exemple ?
Arrête de t’auto-saboter. Apprends à devenir ton propre allié, pas un obstacle !
Chaque fois que ta peur parle, écoute-la… puis avance quand même 🔥.
L’auto-sabotage se cache partout. Dans tes pensées, tes excuses, tes habitudes. Mais chaque jour, tu peux faire un choix différent. Agir au lieu d’attendre. Demander au lieu de subir. Et apprendre au lieu d’abandonner.
🔥 Et toi, quel méchant de Disney sommeille en toi ? Avoue, on a tous saboté notre propre happy ending au moins une fois… Viens partager tes anecdotes sur Instagram et TikTok (@PikMag), on adore en discuter (promis, sans jugement) !
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FAQ – L’auto-sabotage
Tu veux en découvrir encore plus sur l’auto-sabotage? Voici les questions les plus courantes sur le sujet!
L’auto-sabotage, c’est ce cercle vicieux où tu freines ta propre réussite sans t’en rendre compte. Il est souvent lié à un manque de confiance en soi, des peurs inconscientes ou une faible estime de soi. Par peur d’échouer (ou même de réussir), on préfère ne pas agir, procrastiner ou fuir les opportunités.
Quand tu t’auto-sabotes, tu accumules des échecs auto-induits, ce qui fragilise ton estime de soi et te fait perdre confiance en tes capacités. Plus tu te dévalorises, plus il devient difficile d’oser, d’affirmer tes choix et de croire en toi. C’est un cercle vicieux : chaque occasion ratée renforce l’idée que tu n’es « pas capable ».
Plusieurs raisons :
– Le manque d’affirmation de soi : peur du regard des autres, peur de ne pas être légitime.
– Les croyances limitantes : penser qu’on ne mérite pas le succès ou qu’on va forcément échouer.
– L’évitement émotionnel : fuir une situation qui génère du stress ou de l’anxiété.
– L’habitude de la dévalorisation : ne pas reconnaître ses réussites et rester bloqué dans un schéma de pensée négatif.
– Prendre conscience du problème : identifier les comportements qui te freinent.
– Développer l’affirmation de soi : apprendre à dire non, à exprimer tes besoins et à affronter le regard des autres.
– Célébrer tes réussites : même les petites victoires renforcent la confiance en toi.
– Travailler sur tes pensées négatives : remplacer l’auto-dévalorisation par des pensées plus constructives.
– Se faire accompagner : un coach, un thérapeute ou une thérapie comportementale peut t’aider à briser ces schémas inconscients.
Oui, mais cela demande une prise de conscience et un travail sur soi. L’auto-sabotage est souvent un mécanisme inconscient, ancré depuis l’enfance ou renforcé par des expériences passées. Il est possible de développer sa confiance, d’oser sortir de sa zone de confort et de reprendre le contrôle sur sa vie.
– Accepte que l’échec fait partie du processus : chaque erreur est une opportunité d’apprentissage.
– Travaille ton affirmation de soi : ose exprimer tes idées et prendre des décisions.
– Remplace la procrastination par de petites actions quotidiennes : avancer, même lentement, te fera regagner confiance en toi.
– Ne laisse pas les pensées négatives guider tes choix : ton état d’esprit joue un rôle clé dans tes réussites.